Cette année, du 13 au 15 mars, le Café Social s'est décliné au féminin : un programme riche qui mêle convivialité, plaisir de la rencontre et du partage : repas fesifs, musique, poésie, danse : il y avait tous les ingrédients pour faire oublier les bobos de la vie et le sentiment d'isolement, la maladie…
Jeudi 13 :
Repas des anciennes. Une “chef“ a fait le déplacement pour marquer l'évènement. Une recette de chef pour un repas de fête, très apprécié.
L'instant magique fut le vernissaage d'un magnifique patchwork, réalisation d'un groupe de femmes du Café Social encadrées par Maryse Marchetti. Une création de véritables artistes qui s'ignorent. Ce patchwork illumine désormais le Café Social de mille soleils, d'éclats de couleurs et de joie. (Cliquer pour Lire la suite...)
Le groupe de musique Gâada Diwane de Béchar, qui mêle des rythmes envoutants, dirigé avec maestria par Abdel Laoufi a enchanté le groupe des femmes.
Vendredi 14 : un petit-déjeuner comme à la maison, suivi d'une séance de socio-esthétique et de henné. Un moment de bonheur qui permet de renouer avec sa fémininité.
Projection du documentaire “L'exil intérieur“ suivi d'un débat sur l'intégration, avec une invitée de choix
Samedi 15 : ouverture exceptionnelle du Café Social. Un bruch a été porposé à tous les participants, des femmes mais aussi des hommes. L'après-midi, retour à la musique. Bachir et Karim, tous deux travailleurs sociaux, passionnés par la musique qui a bercé les immigrés de la première générations, ont animé un juke box : enchaînement de tubes de l'époque que les immigrés écoutaient dans les bars, un verre à la main et les yeux embués. Chansons qui évoquaient la famille et le pays qui manquent, l'affection maternelle, les amours oubliées.
Pour les amoureux de cette musique, se connecter sans tarder sur le site : http://www.toukadime.com/
Merci à Maryse Marchetti, Emmanuelle Dessart (socio-esthéticienne), Abdel Laoufi et ses musiciens, à Krimau et Bachir et toutes les femmes qui sont venues nombreuses.
Écrire commentaire